Notes hebdo #110

Journal de bord hebdomadaire : formation, bibliothèques, médiation numérique et engagement.

Je vais faire un peu de facilitation en tant que prestataire pour Transiscope. Je suis ravie ! C’est rigolo, car j’ai l’impression d’intégrer un vrai collectif de travail (avec l’accueil qui va bien !), ce qui n’arrive pas si souvent quand on est prestataire.
J’ai publié un billet de blog écrit par Romain et moi sur nos déboires avec Pôle emploi.
Romain va revenir de congés, j’ai donc écrit un mail récapitulatif de ce qui s’est passé ces dernières semaines. J’aime bien ce type d’exercice car, comme les notes hebdomadaires, ça permet de se rendre compte du travail effectué.
Je continue à travailler sur le contenu de mes prochaines formations : cela avance, mais demande du temps !
En ce moment, je passe pas mal de temps à partager de la veille sur Linkedin ou le Fediverse.

La consultation des dernières données du suivi de la qualité de “vos démarches essentielles” donne une petite idée de l’intérêt de l’Etat pour l’accessibilité : sur 248 démarches évaluées, 5 seulement sont 100 % conformes au RGAA. 2 %, donc.

J’ai fini la lecture de combattre le cybersexisme de stop fisha. C’est pour moi un ouvrage de référence sur le sujet, qui permet de poser des mots précis, apporte des billes juridiques et évite tous les ecueils du sujet.
Les enfants et les écrans (Anne Cordier et Séverine Erhel), podcast des éditions Retz. Il apporte plein de nuances : le fait de parler d’écrans ne veut pas dire grand chose, mais aussi les limites du 3/6/9/12 de Serge tisseron ou encore la question des paniques morales…
Je recommande la lecture de la dernière infolettre de Limites numériques qui traite de la question de l’eau sous l’angle de l’impact environnemental du numérique.
La Série documentaire sur le cancer est vraiment passionnante. Le premier épisode s’intéresse aux patientes-expertes, le second à la maladie professionnelle, le troisième aux inégalités sociales face à la maladie et le quatrième aux progrès de la science qui va de plus en plus vers des traitements ciblés au lieu de la classique chimiothérapie.